Dans l’Etat de Rivers au Nigéria, plusieurs fermes intégrées Songhaï abandonnées appartenant à l’Etat seront réhabilitées dans le but de garantie de la sécurité alimentaire.
L’ex administrateur de l’Etat de Rivers, le vice-amiral Ibok-Ete Ekwe Ibas, a réaffirmé sa volonté d’inverser des années de négligence dans les fermes intégrées de Songhai, propriété de l’Etat.
Il a également exprimé son engagement en faveur de stratégies collaboratives qui permettront de restaurer l’installation en tant que plaque tournante de l’agriculture durable, de la création d’emplois et de la sécurité alimentaire.
Cette assurance est venue après une vaste tournée d’inspection des projets clés dans les zones de gouvernement local de Tai et d’Obio-Akpo samedi, notamment les fermes Songhai, le centre de soins de santé primaires modèle, l’école primaire abandonnée One à Bunu Tai, l’hôpital mère-enfant sur l’autoroute Port Harcourt-Aba et le centre de diagnostic du cancer et des maladies cardiovasculaires Dr Peter Odili à Rumuokwuta.
S’adressant aux dirigeants et aux parties prenantes de la communauté, le vice-amiral Ibas a exprimé sa consternation face à la sous-utilisation du vaste potentiel agricole et sanitaire de l’Etat de Rivers.
« Ce que nous avons vu aujourd’hui n’est pas seulement de la négligence : c’est une perte pour notre économie, notre sécurité alimentaire et nos générations futures.
Les fermes Songhaï, si elles étaient pleinement opérationnelles, pourraient transformer les moyens de subsistance, mais l’état actuel représente une opportunité manquée pour notre peuple.
Sandrine KOUADJO et autre média